A l’étranger, user des transports locaux est une façon parmi d’autres d’être au contact de la population, d’en savoir un peu plus sur ses us et coutumes, de partager un même rythme et des conditions de vie similaires. Savoir comment les gens se déplacent et se déplacer avec eux me semble en effet essentiel pour appréhender humblement un pays et en avoir une approche relativement authentique. C’est donc avec une réelle tristesse, un brin d’incrédulité et un peu de colère également, que j’ai récemment appris qu’étrangers et péruviens ne pouvaient plus partager les mêmes wagons – voire trains – pour se rendre à la station proche du Macchu Picchu… Comme si un voyage n’était qu’une succession de rencontres avec des lieux et non pas avec des personnes.
C’est étonnant comme certains mots venant innocemment à l’esprit se révèlent être en fait des pistes de réflexion. J’ai de fait envie de remercier les énergies passagères pour celui-ci, rebours. Tout est parti d’aujourd’hui. Lundi 4 mai. Je me dis, soulagée mais pas vraiment pour tout vous dire : « ouf, plus qu’une semaine avant la libération ! ». […]
Share on FacebookIl fait nuit tôt à Wellington. 17h46 aujourd’hui. Quelques étoiles nageaient dans le ciel immense avant même que le soleil ne disparaisse totalement. Mais Vénus était la première reine de la nuit à faire sa sortie. Oui, je sais, c’est une planète… En France, vous pouvez aussi la voir en ce moment. Je trouve ça […]
Share on FacebookJ’aime cette heure tardive et sans nuage de la journée où la vie devient bidimensionnelle et où même notre ombre semble si fatiguée qu’elle s’étale de tout son long sur un macadam transformé en immense divan collectif. 5 Share on Facebook
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