Trouver un petit coin en hauteur suffisamment isolé du tumulte ambiant pour se croire loin de tout, se poser face à l’océan, faire le vide en soi, n’écouter que le bruissement des vagues s’échouant délicatement sur la plage. Et le regarder descendre du ciel sans ciller. Et le voir colorer le monde de reflets mordorés. Et s’extasier, chaque jour, comme si c’était la première fois…
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Share on FacebookA l’heure où les tapis rouges du Festival de Cannes sont remisés au placard – 60 mètres quand même -, où les polémiques post-palmarès fleurissent – ce serait trop simple d’accepter le verdict d’un jury de 9 personnes -, où il va donc bientôt pleuvoir sur le court central prochainement recouvert de Roland Garros – […]
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