Photo-graphies et un peu plus…

G6-encours-1Il ne reste plus que quelques heures pour participer à la 6e génération d’Objecti3280. Elle a ouvert avec 243 échos à poster vendredi soir. Il en reste 75 à proposer d’ici ce soir.

Objectif3280 fonctionne sur la base d’associations d’idée. L’idée est d’apporter une suite aux photographies postées par les participants de la génération précédente. Les possibilités de rebonds sont multiples, la forme pour certains, la couleur pour d’autres, quelque chose dans l’ambiance, le titre ou l’histoire… Dans l’idéal, un écho n’est pas une répétition, mais bien une continuité, qui fait avancer l’histoire initiée par vos prédécesseurs.

Et si c’est votre première participation, peut-être aurez-vous besoin de jeter un œil au Mode d’emploi avant de vous lancer.

Ensuite, direction l’onglet Participer, (en rouge là haut), choisissez votre mode de participation selon votre envie du moment (le circulaire, le linéaire, l’aléatoire), la photo à laquelle vous voulez faire écho et suivez le guide !

A très bientôt !

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A Laurence Serfaty de monter sur la branche… Laurence, une grande fidèle d’Objectif3280 puisqu’elle participe depuis la 2e génération de la 1re édition en 2010 et qu’elle a fait monter un nombre non négligeable de personnes sur cet arbre collectif !

Quelle est la place de la photographie dans ta vie ?
J’ai eu mon premier Instamatic Kodak à 12 ans, un cadeau de mon père pour mon anniversaire, je crois. Je n’avais pas du tout le sens du cadre. J’ai commencé à comprendre comment composer une photo en visitant les châteaux de la Loire. C’est là que j’ai réalisé qu’il fallait chercher des angles originaux, des points de vue différents et ne pas se contenter de faire “clic” face au monument. Je ne prends pas de photos régulièrement, je ne pars pas en chasse à la bonne photo et je n’ai jamais eu un excellent matériel. D’ailleurs, l’envie d’acquérir un meilleur équipement commence à me démanger. Aujourd’hui, je fais pas mal de photos avec mon Iphone et avec un petit Canon numérique. J’ai du mal à prendre des photos quand les émotions que je ressens sont intenses parce que je préfère vivre le moment plutôt que de chercher à en préserver une trace en image. Quand j’observe les gens et leur appareil photo, je me demande souvent combien de photos sont prises chaque jour dans le monde, surtout depuis l’invention du numérique. Je me demande ce que deviennent ces clichés, s’ils sont regardés au retour des voyages. Je me demande aussi parfois sur combien de photos de touristes nous figurons puisqu’il nous arrive si souvent de passer dans le champ d’un appareil. Les photographes que j’aime dans le désordre : Salgado, Reza, les deux photographes qui ont provoqué les émotions les plus fortes et Riboud, Dorothea Lange, Depardon, Capa. Même si je suis sensible à la composition graphique d’une photo, ce sont toujours les photos de gens qui me touchent le plus.

Quelle est l’histoire de ta photo (Voilier du nord) ?
La photo a été prise à Stockholm, début mars 2011. J’avais eu la chance d’y être invitée à l’occasion d’un festival de films scientifiques (où l’un de mes films était projeté). Deux jours plus tôt, je me trouvais à Louxor et le choc thermique fut un peu vertigineux. Mais, à part la température, je notais des ressemblances : des voiliers (// des felouques sur le Nil) et des obélisques (si si, il y a en a 2 ou 3, aussi kitschs que contemporains, le long du port, à Stockholm). A l’instar d’03280, je remarquais les échos visuels entre ces deux villes si éloignées.

Quelle connexion avec celle de la génération précédente (Another day on earth de Lou Camino) ?
Bateaux sur l’eau, immeubles à l’arrière-plan, ciels… il s’agit surtout d’une connexion “conceptuelle”. Parce que l’écho graphique ou l’écho en termes de teintes n’est pas flagrant (doux euphémisme). Je dois avouer aussi ma hâte dans le choix de cette photo de 2ème génération : je participe à 03280 depuis la 1ère édition et, comme une gamine, j’étais pressée de jouer dès cette première étape ! Ceci dit, quand je vois les photopoèmes parmi lesquels elle figure, je me dis que mon choix précipité n’est pas si inopportun 😉

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A Magali Deschamps de se prêter au jeu de la branche. Magali, présente depuis la 1re édition : merci pour cette fidélité !

Quel est le rôle de la photographie dans ta vie ?
« Amatrice du dimanche sachant apprécier les belles photos », je pense… Je photographie essentiellement quand je suis en voyage, et de préférence seule : c’est là que je réussis les photos dont je suis le plus fière après coup. Pour les « portraits » je ne suis malheureusement pas très douée…
Photographier a pour moi un aspect extrêmement méditatif, à la limite de l’autisme, mais du coup très reposant… pour cela il faut du temps et ne pas être pressé, donc en vacances dans 99% des cas!… 😉
Ensuite je prends malheureusement rarement le temps de regarder toutes ces images que je ramène…
Mais c’est justement là que le projet Objectif3280 est toujours le bienvenu : enfin une bonne raison de fouiller dans son disque dur !!!

 
Quelle est l’histoire de ta photo (Derrière la vitre) ?
Pour cette édition d’Objectif3280, je me suis (par jeu… : je n’ai eu cette idée qu’à la 3 ou 4ème photo postée) plus ou moins donnée la contrainte artistique de ne poster que des images d’un seul et même voyage ! Et j’ai réussi ! 😉
La photo postée en G8-239 a donc été prise à Téneriffe, comme toutes les autres que j’ai postées… Un élan de pitié pour ce perroquet (à moins qu’il ne s’agisse d’une perruche ?) doublement enfermé dans sa cage et derrière cette fenêtre, par un magnifique jour d’été… et la fascination pour le graphisme de cette scène.

 
Quelle est la connexion avec celle de la génération précédente (theaterundorchesterheidelberg de Thomas Bouyssié) ?
Là c’est beaucoup moins évident pour un spectateur de l’extérieur (ce pourquoi j’ai choisi cette photo…). L’image précédente a été prise par un ami sur mon lieu de travail (!) : un théâtre d’architecture moderne, avec ces « alvéoles » de bois aux murs qui lui donne un quadrillage graphiquement très intéressant…
Le rappel du quadrillage est je pense évident… Mais il y a aussi ce qu’on ne peut pas voir sur la première photo… : si on avait la possibilité de tourner légèrement la tête vers la droite, on apercevrait le vitrage de la cabine technique, derrière lequel travaillent les techniciens chargés de la lumière, et parfois, le cas échéant, du surtitrage, de la vidéo ou du son… et sur scène, le comédien ou le chanteur qui rejoue la même représentation pour la énième fois ou justement « répète » pour la prochaine première… Même s’il n’est que rarement déguisé en perroquet ! 😉 Mais heureusement, on ne parle pas de « cage de scène » en allemand, contrairement au français… 😉

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On poursuit avec Béatrice Castaing, dont c’est la 3e participation à Objectif3280 !

Quel est le rôle de la photographie dans ta vie ?
La photo pour moi ce n’est pas une question de technique, d’objet à photographier, de lumière, de couleurs…, c’est plus une question de souvenirs à immortaliser…
Je peux passer de longs moments à regarder d’anciennes photos, et je prends beaucoup de plaisir à les classer et à les conserver. Alors quand je fais des voyages, des ballades près de chez moi dans un endroit que j’aime, quand j’emménage dans mon nouvel appart…, souvent ça passe par mon appareil photo !

Quelle est l’histoire de ta photo Pointé vers le ciel ?
C’était un bel après-midi d’automne où j’ai enfin pris le téléphérique de l’aiguille du midi (un vieux rêve !) ! Cette photo c’est un peu un accident parce que en arrivant sur cette terrasse panoramique, il y avait déjà plein de gens, et j’ai vu cet oiseau posé là, tranquille, il m’a fait rire. J’ai donc essayé de le prendre en photo entre deux passages des personnes présentes, et finalement je trouve la photo plutôt réussie même si c’est plutôt grâce au hasard qu’à mon talent de photographe !

Quelle association d’idée avec celle de la génération précédente (Rock Balance Terry Robinson de Sarah Marty) ?
Le rocher pointé vers le ciel, on dirait un doigt qui veut nous montrer quelque chose…

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Nouvelle branche bien fournie avec Réva de Col, dont c’est la 1re participation, qui nous raconte l’histoire de chacune des photos qu’elle a postées…

Quel est le rôle de la photographie dans votre vie ? 
La photographie selon moi, permet de découvrir via des photos anciennes prises de vieux souvenirs de famille où je n’étais pas encore née, ou bien de voir aussi des lieux où je ne suis jamais allée encore. D’autre part, mon père s’étant intéressé et s’intéressant toujours à la photo (vieille manière de développer avec chambre noire), j’ai été depuis petite apprivoisée à cet art. Car pour moi, la photographie, est un art, tout comme la musique, le théâtre, la couture et j’en passe.
Cela m’arrivait il y a deux trois ans de prendre beaucoup plus de photos que maintenant, avec un regard plutôt sur les détails. A l’époque, je faisais plusieurs clichés de la même vue et je gardais le ou les meilleurs. Je parle de cela concernant mes voyages, ou moment de soirées ou autres.
Aujourd’hui, j’avoue que ce n’est plus trop le cas, je prends toujours des clichés, mais juste quelques uns, et je préfère croquer ou me souvenir des endroits où je me suis rendue, ou moments que j’ai vécus.

Quelle est l’histoire de Tourbillon
Je me trouvais dans un camping dans les Pyrénées Orientales, juste au pied du mont du Canigou. Nous campions, et lors d’un BBQ, j’avais ramené mon appareil photo et ai pris plusieurs photos durant ce moment. Cette photo, que j’ai appelée « Tourbillon », a été prise sans le vouloir, je ne l’avais pas remarqué. Je l’ai découverte en regardant mes photos quand je suis rentrée de vacances. Cette photo date d’août 2007.

Quelle connexion avec la photo de la génération précédente (G6-136, La grande ourse de Muriel Crébassa) ?
J’ai remarqué que la photo représentait des formes circulaires et s’inspirait de la nature, car je pense, que c’est une poussière de fleur si je puis m’exprimer ainsi. Comme la photo que j’ai prise « Tourbillon » était aussi de forme de rond, j’ai trouvé que cette photo faisait écho avec la mienne.

 

L’histoire de Casa Pedrera de Gaudi, arriba de todo
C’est lors de mon premier voyage à Barcelone dans le cadre d’une colonie de vacances. Nous nous trouvions tous en haut de la Pedrera, et j’étais assez fascinée par ces espèces de soldats, mais je voulais les prendre en sorte de portrait. Du coup, je me suis mise à un endroit et ai zoomé un peu. Au final, on peut voir selon son imagination des têtes de soldats, ou de Dark Wador (Star Wars). Cette photo date de juillet 2008.

 

L’histoire de Rocher dans la mer percé d’un trou cercle
Cette photo été prise à Orebic en Croatie, c’est une presqu’île. La photo a été prise en fin de journée. J’ai pensé en la prenant que la nature quelle qu’elle soit (bois, roche, ou eau) s’harmonise parfaitement, et avec cette photo, à l’époque, je trouvais que ça reflétait ma réflexion.

Quelle connexion avec la photo de la génération précédente (La mouette sur la roche de Val K) ?
Cette photo avait plus ou moins les mêmes teintes que celle que je voulais proposer. Y’avait aussi quelque chose dans ou sur la roche, là l’oiseau sur le rocher et un trou dans le rocher, et toutes deux dans la mer.

 

L’histoire de Cadre naturel cadrant un point de vue depuis Montjuïc
La photo a été prise hier, en allant visiter la fondation Miro. Je trouvais que le cadre se faisait avec les bords des feuillages des arbres et aussi le pin qui était au dessus de ma tête.

Quelle connexion avec la photo de la génération précédente (Cadre dans cadre de Sébastien Gonnet) ?
Je l’ai mise en relation avec l’autre photo prise avec l’encadrement fait de béton, car celui-ci était fait par l’humain (construction) et ma photo, avec un encadrement de verdures.

 

L’histoire de Ca grimpe (thermomètre citadin) 
Cette photo représente le thermomètre géant de Barcelone, se trouvant sur une rue donnant Plaza Catalunya. Je l’avais repéré depuis mon arrivée à Barcelone (octobre 2013), mais ne trouvais pas le bon moment pour le prendre en photo. Cette photo est un petit clin d’œil à des amis étant sur Paris où il ne fait pas très chaud. Photo prise 6/12/13 à 16h.

Quelle connexion avec la photo de la génération précédente (Morceau de pont (film IR) d’Alain Gravelet) ?
J’ai trouvé que cette photo faisait écho à « morceau de pont », car dans cette photo, comme le nom nous le mentionne, c’est une portion. Dans ma photo, il y a aussi une portion du thermomètre qui est remplie de rouge, donc pas l’entière totalité (jusque 14°C).

 

L’histoire de Concert gnawa jazz pour un anniversaire aux Frigos de Paris
La photo a été prise début septembre 2013 comme je l’ai mentionné aux Frigos de Paris dans le 13ème, sous la rue de Tolbiac dans une salle voutée. J’ai pris plusieurs clichés car je connaissais certains musiciens étant moi-même musicienne. Cela faisait donc un souvenir. De plus, ce n’est pas si courant à Paris d’écouter de la musique Gnawa (musique d’Afrique du nord avec des instruments traditionnels comme le giembré et les castagnettes marocaines -je ne me souviens plus du nom-). Le giembré est la basse marocaine, instrument très ancien à trois cordes de boyaux de moutons. Les castagnettes marocaines que l’on voit sur la photo par un ami qui chante ont une forme de cuillère.

Quelle connexion avec la photo de la génération précédente (Chaise de spectacle d’Emmanuel Veneau) ?
Ce sont toutes les deux des photos représentant des arts (la danse et la musique). Comme j’ai trouvé qu’il y avait deux photos de danse, et aucune sur la musique ou des musiciens, j’ai pensé que ce serait une bonne idée.

 

L’histoire de Visages
Elle a été prise sur un pont passant au dessus des rails des trains de la gare du nord, entre la Chapelle et Stalingrad. Je trouvais marrants ces visages de catcheurs et à l’initial, je voulais les prendre sans passage devant, et puis un homme pressé est passé juste au moment où la photo s’est faite. Sur le coup, je me suis dis que j’allais en refaire une, mais en la voyant, j’ai trouvé que cela rendait bien, avec le flou et le net.

Quelle connexion avec la photo de la génération précédente (Défense de stationner d’Alain Gravelet) ?
A cause des visages sur les deux photos tagués sur une porte de garage ou sur le début d’un mur.

 

L’histoire de Avion passant mille lieux au dessus de la flamme Olympique JO 92
Cette photo a été prise sur le Montjuïc. J’ai levé la tête et regardé en haut, le matériau où est allumée la flamme est de plusieurs couleurs comme un effet de couleur pétrole. Juste à ce moment là, un avion se préparait à passer à côté. Je souhaitais prendre cette photo car je trouvais déjà que le support de la flamme était haut, mais alors l’avion encore plus.

Quelle connexion avec la photo de la génération précédente (Figure acrobatique de Nicole Vasapolli) ?
C’est aussi une photo d’avion dans le ciel mais surtout de trace laissée en faisant un dessin de traînées blanches. Les cercles sur la « Figure acrobatique » font écho à la ligne blanche qu’a laissée l’avion dans ma photo.

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On continue avec Emmanuel Veneau.

Quel est le rôle de la photographie dans votre vie ?
La photographie m’aide à être présent à la réalité qui m’entoure sans être tenté de la traverser sans plus y penser.
Ne cesser de tourner autour du réel comme pour refuser d’en être séparé.
Ou tout du moins poser là un regard pour ne pas s’y absenter.

Quelle est l’histoire de votre photo (G8-1610, Ce qu’il me resta de lumière) ?
C’est une histoire en deux temps. La photographie elle-même fut prise à la tombée de la nuit à Collonges-sous-Salève avec du matériel d’une autre époque : un Nikon FM2 et une pellicule argentique…
Il y a quelques années, j’ai dû choisir entre passer à du matériel de prise de vue numérique ou acquérir un scanneur de négatifs. J’ai opté pour la 2ème solution et en numérisant mes films je me suis aperçu qu’on pouvait presque récupérer le grain de la pellicule. Et c’est le deuxième temps de la vie de cette image qui fait partie d’une série d’extraits de négatifs scannés, série qui voudrait aller chercher dans l’image l’endroit où le réel nous échappe.

Quelle connexion avec celle de la génération précédente ?
Les arbres, bien sûr. Et l’ambiance, cette lumière à peine suffisante, qui peut être celle du commencement ou de l’achèvement du jour, dans laquelle nous perdons nos certitudes sur ce qui nous entoure, où un lampadaire pourrait très bien être un soleil, et l’horizon à portée de mains.

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Comme annoncé, Alain Gravelet monte sur la branche…

Quel est le rôle de la photographie dans ta vie ?
C’est une passion depuis l’âge de 9 ans. À cette époque on m’a offert un instamatic Kodak. Puis ce fut mon métier pendant quelques années. J’ai fait beaucoup de photos de voyages. Aujourd’hui, où je ne voyage quasiment plus, la photo est devenue occasionnelle.

Quelle est l’histoire de ta photo (G8-2107, La maison dans la montagne) ?
Cette photo a été prise en Chine, dans le Nord, sur la route de Datong. J’ai pris la photo à travers la fenêtre du bus. J’aime beaucoup cette image avec cette maison isolée au milieu de nulle part, un cheval devant l’entrée.

Quelle connexion avec la photo de la génération précédente (G7-703, La cabane des humains de Nicole Vasapolli) ?
La petite maison (apparemment) isolée.

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Et voilà, après un petit mois fort en émotions, la 2e édition d’Objectif_3280 est arrivée à son terme… 538 échos ont été postés pour cette 8e et ultime génération, ce qui porte à 1 310 le nombre de photos recueillies depuis le 1er juin et toutes liées les unes aux autres par des associations d’idées parfois limpides parfois obscures… Malheureusement, quelques branches se sont arrêtées plus tôt. On aurait aimé donner une suite à toutes les images proposées, mais ainsi va la vie… Il me semble néanmoins que les racines et les branches tentaculaires de ce 2e arbre écho-photographique sont désormais bien ancrées dans la terre, prêtes à pousser d’une manière ou d’une autre. Les chaînes et histoires créées par les 252 participants de 18 pays sont de petites merveilles (si, si) ! Merci chaleureusement à tous ceux qui y ont participé (on se parle bientôt) ainsi qu’à ceux qui l’ont suivi à distance (je ne peux que vous deviner)…  Merci à ceux qui se sont prêtés au jeu de « Perchée, sur une branche avec… » (j’en ai encore deux à poster et la boîte aux lettres reste ouverte) et qui ont bien voulu partager leurs souvenirs, leurs histoires, leurs idées, leur vie… Maintenant, il va falloir penser à l’exposition ! Tout cela est vraiment très loin d’être fini !

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Il m’aura fallu quelques jours pour la faire… Cela prend du temps de tirer des courbes une par une… Mais voilà donc la suite des pérégrinations des photos de l’écho-munauté… Les échanges transfrontaliers se multiplient et c’est l’objectif ! Donc, n’hésitez pas à participer et / ou à inviter vos connaissances à l’étranger – on est tous l’étranger de quelqu’un – à le faire…

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(English version below : please, scroll down)

La 5e génération d’Objectif_3280 est lancée ! Les choses sérieuses commencent : 81 photographies sont à recueillir en écho aux 27 de la 4e génération. L’écho-munauté s’ouvre avec des images venant pour la première fois d’Allemagne, du Nicaragua, du Japon, d’Espagne, du Maroc et du Canada. Il en reste encore beaucoup ! Continuez à laisser aller votre imagination et à diffuser l’information ! Pour les prochaines générations, on passe aux centaines avec 243, 789 puis 2 187 échos à collecter ! Pour ceux qui connaissent déjà les règles, rendez-vous directement sur l’arbre écho-photographique pour poster votre écho ! Pour les nouveaux arrivants, nombreux je l’espère, vous pouvez passer par la page Objectif_3280 même si une synthèse est faite sur la page de l’arbre… Vous verrez, c’est très facile ! Pour info, pour faciliter la visualisation des images et la proposition des échos, vous pouvez  utiliser l’entrée par planche contact générationnelle (icône rouge sur la gauche de l’arbre). Ce sera plus simple et plus attractif à ce stade, notamment pour les personnes découvrant l’arbre maintenant.

Merci encore pour votre participation !

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The fifth generation of Objectif_3280 is now open! It is getting more complicated now: 81 pictures have to be gathered in reply to the 27 of the fourth’s generation. The echo-munity opens itself  with echoes coming from Germany, Nicaragua, Spain, Japan, Germany and Canada. A good start! Let you imagination go and continue to share the information. For the three last generations, we need 243, 789 and finally 2 187 echos! For those who already know the rules, you can go directly to the tree: echo-photographic tree to post your echo. For the new ones, many I hope, everything is explained on the project’s page : Objectif_3280. It is very easy! To facilitate the visualization and the suggestion of an echo, you can already use the generational contact sheet (in red, on the left of the tree). That will be simpler, above all, for people who discover the tree now.

Thank you again for your participation!

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