Avec l’hiver, les buissons ardents séparant le chemin du fleuve se sont mus en de frêles brindilles. Des petites tiges caduques et figées s’extrayant tant bien que mal d’une neige légère mais envahissante, et signalant, par leur présence, tel un acte de bienveillante résistance, une frontière désormais invisible et impalpable entre la terre et l’eau claire.
C’est un constat que chacun a pu faire : un parapluie ne pare pas toujours efficacement la pluie. J’entends, un parapluie classique, de diamètre normal, pas ces parachutes qui occupent la largeur d’un trottoir, dont les propriétaires, de véritables pachas ambulants, ne semblent avoir aucun scrupule à éborgner les badauds qui oseraient fouler le même […]
Share on FacebookVoilà comment se discréditer en quelques heures, même si j’ai, hier, admis la limite de ma critique ! La nuit tombant, les petites lumières se laissent distinguer tour à tour. Un vrai ballet d’étoiles ! C’est un peu comme à marée basse, la rive nous apparaît sous un autre angle. S’il est naturel de se […]
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