Photo-graphies et un peu plus…

Mitigée

Lorsque l’on se retrouve malencontreusement confronté à ces espèces de robinets en voie de disparition – superbes au demeurant -, on a beau être un fervent défenseur de la robidiversité et de toutes les formes de tuyauteries en général, on ne peut s’empêcher de penser que celui – ou celle (cela ne m’étonnerait d’ailleurs pas qu’une femme soit à la source d’une solution aussi pratique (et hop là !)) – qui a inventé l’eau tiède, celui, ou celle donc, qui a eu cette idée simple et géniale de mélanger l’eau très chaude, intouchable, à l’eau très froide, pas moins fréquentable, n’était pas, contrairement à ce que charrie la légende urbaine, si sot… ni sotte !

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La méthode Coué

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En l’espace de quelques mois, j’avais presque oublié l’existence de cette désagréable sensation… Celle de mes mains métaphoriquement en proie aux flammes de passer d’un extérieur très froid à un intérieur à température modérée, c’est-à-dire bien plus élevée que ce que le thermomètre accroché sur un battant des volets peut indiquer. La sensation de vive chaleur puis de picotement commence par les extrémités, par le bout des doigts, avant de progresser lentement mais inexorablement, phalange après phalange, vers la paume des mains, qui, comme des tomates en plein soleil, se mettent à rougir, gonfler puis à méchamment démanger. On dirait une soudaine poussée d’urticaire. C’est insupportable ! Les refroidir à l’eau froide n’y change rien, les frotter encore moins. Un mauvais moment à passer, comme pouvait l’être une anesthésie à l’ancienne chez le dentiste : une piqûre directement enfoncée dans la gencive ! Mais avec l’effet diamétralement opposé : là où cette dernière vise à insensibiliser totalement (ce que l’on espère vivement) la zone touchée, l’autre – l’amplitude thermique – exacerbe à outrance la sensibilité de nos appendices préhenseur, extrêmement utiles par ailleurs !

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