Dans la vie, il faut choisir entre se déshabiller à 6h du matin alors qu’il fait 3°C dehors pour se glisser 4 minutes chrono dans une eau à 32°C avant de se sécher (et de se changer) rapidement et partiellement en plein air ou, rester emmitouflé dans son blouson et se satisfaire de prendre cette première catégorie de courageuses personnes en photo.
Errer dans les rues de New York un jour d’hiver rigoureux et remarquer cette singulière lumière mi-réelle mi-artificielle qui enveloppe la ville et ses habitants de toutes parts. Celle-là même qui, arrivant directement du ciel où brille un soleil libéré, vient heurter les millions de vitres des buildings pour rebondir sur le trottoir et éclairer la vie par en bas…
“Sur une branche, perchée avec…”, un rendez-vous quotidien avec un membre de l’échomunauté… Rencontre avec Jean-Yves Terrault. Quelle est la place de la photographie dans ta vie ? La photo est une forme d’expression pour moi, qui me permet d’arrondir mes fins de mois. Bien que toutes les photos que je fais n’atteigne pas cet […]
Share on FacebookDe façon générale et quasi universelle, les panneaux de signalisation ont, par définition, pour fonction d’indiquer, je dirais même plus, de signaler, la proximité ou l’entrée d’un site : une ville, un parc, une aire d’autoroute, une gare, une forêt, un musée, un hôpital, une grotte, un département, une réserve naturelle… En somme, quelque chose […]
Share on FacebookCela aurait pu être la balance des blancs – car c’est souvent elle qui génère mes ires photographiques matinales en donnant une teinte exagérément bleutée à mes premières images du jour après une sortie nocturne virant au jaune, compensé à base de degrés kelvin, et à l’issue de laquelle j’ai oublié de rétablir les réglages neutres de ma boite à […]
Share on Facebook