Comme une idée encore un peu vague, un peu légère, ballottée de ci de là au gré des courants, d’air, qui feint s’envoler mais qui ne fait que danser. Et s’accrocher un peu plus à chaque expiration du vent. Pour, au bout du conte, faire corps avec celle qui l’émet, jusqu’à l’accompagner. Dans son inextinguible soif de liberté.
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Share on FacebookTout a commencé là. Enfin, pas vraiment là au sens propre, sur cette esplanade d’Osaka, mais là, avec des talons. Ou plutôt, avec la musique qu’ils émettent en se déplaçant. Ce martèlement régulier et sec sur le bitume qui fait d’abord penser à celui des sabots d’un cheval avançant au trot sur des pavés en […]
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