Ce soir, je ne suis pas d’humeur à écrire plus que le fait que je ne suis pas d’humeur à écrire ce soir.
C’est en regardant un film d’Amos Gitaï – Devarim – que pour la première fois, le photographe m’est apparu comme une sorte de prédateur, de tireur d’élite. Mon souvenir : un personnage, reclus volontairement chez lui pour cause de bile noire persistante, se met à la fenêtre avec son appareil équipé d’un long zoom et […]
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