tags: baiser, Berlin, Dmitri Vrubel, east side gallery, Erich Honecker, graffiti, Léonid Brejnev, mur de Berlin, peinture, street art
Une voix universelle a dit : « Eloignez-vous de la bordure du quai. Attention au départ ! » suivi d’un coup de sifflet bref et strident. L’heure de la séparation était arrivée. Désespérée, elle s’est approchée de la vitre du TGV pour y déposer un vif baiser. Juste de l’autre côté, derrière un double vitrage étouffant les sons mais révélant les émotions, sa moitié l’imitait. Le train est parti, la marque laissée par ses lèvres est restée. Et au fil des trajets, le rouge de l’amour s’est mué en poussière du souvenir…
Suite des tribulations héroïques et maritimes d’une ombre agitée… Question : l’ombre de la réalité est-elle réelle ? 2 Share on Facebook
Share on FacebookJ’aime cette heure tardive et sans nuage de la journée où la vie devient bidimensionnelle et où même notre ombre semble si fatiguée qu’elle s’étale de tout son long sur un macadam transformé en immense divan collectif. 5 Share on Facebook
Share on FacebookLe plus magique avec la magie est d’y croire malgré tout. J’écris « malgré tout » car je ne suis pas dupe. J’ai bien conscience qu’il ne s’agit que d’illusion, qu’il y a un « truc » comme on le dit facilement, et que ce « truc » échappe à ma vigilance. Et aussi à ma raison. Sciemment. Car lorsque j’assiste […]
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