Photo-graphies et un peu plus…

En attendant le printemps

… la sirène est en stand-by et le corbeau, à l’affût !

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L'énigme

Demain, alors qu’il n’y aura plus de pétrole et qu’il fera 2°C de plus sur la planète, le principal problème des lingots d’eau résidera dans leur conservation.

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La sobriété...

… n’empêche pas de voir tout en double.

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Bandes de copines

Certaines prennent vraiment très au sérieux l’expression : « sortir en bandes » !

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L'été en pente douce

Selon le terrain, voyager en groupe s’avère plus ou moins évident… Dans le cas présent, cela requiert un minimum de coordination et un sens certain de l’équilibre. Voire un certain sens de l’équilibre.

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Si le désert avance, les glaciers reculent

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La vie révolutionnaire d'un chien des neiges

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Train de nuit

Au même titre que les blocs de béton entassés sur la plage d’Ostende, que la page 273 de votre polar, que les oies migratoires au dessus du Pacifique ou que les moutons en barquette, les trains nord-américains ont, à toute heure du jour et de la nuit, un pouvoir soporifique indéniable pour qui les regarde et les écoute passer tant ils paraissent interminables – jusqu’à près de 300 wagons accrochés que, malgré soi, on se met à compter car l’on trouve un peu le temps long, derrière son volant – et tant leur rythme – a fortiori, leur petite musique intérieure – semble aussi imperturbable que le tempo andantino d’un métronome mécanique à ressort que la résistance de l’air ne vient même pas altérer…

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Le mythe de la caverne

Lorsque je pousse la porte vitrée d’un cinéma banalisé – j’entends par là, un cinéma situé dans l’enfilade des immeubles d’une rue et non pas un bloc massif à part déconnecté de tout et se suffisant à lui-même -, donc, lorsque je pousse la porte d’un tel cinéma, que je traverse son hall plus ou moins grand mon billet à la main, que j’emprunte un escalator vers le haut ou vers le bas pour atteindre la salle, petite ou grande, dans laquelle est projeté le film que je suis venue voir, immanquablement, une fois dans mon fauteuil, j’ai l’étrange sensation d’être dans le chapeau haut-de-forme d’un magicien, négligemment posé sur une petite table carrée au milieu de la scène, chapeau dont il a montré le fond à l’assistance au préalable pour lui prouver – mais c’est un leurre, nous le savons même si nous voulons croire le contraire – qu’il était bien vide, et dont il réussit malgré tout, l’instant d’après, à extraire un lapin, une balle de tennis, un foulard, des dés, un jeu de cartes, une colombe, une salade et bien d’autres choses improbables encore sous les yeux forcément ébahis de l’assemblée conquise… Ainsi rempli d’immenses volumes savamment imbriqués les uns aux autres totalement imperceptibles de l’extérieur, qui affiche fenêtres et autres ornementations architecturales classiques, le cinéma s’apparente à un espace à double-fond, de mondes parallèles, où l’illusion des fictions fait écho à celle des lieux, pourtant bien réels.

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category: Actus
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L'atour de verre

J’ai d’abord cru à deux tableaux abandonnés dans la rue, leurs propriétaires ne pouvant plus les voir en peinture, avant de réaliser, en les voyant se métamorphoser au fur et à mesure que je m’approchais d’eux, qu’il s’agissait là de bouts de verre…

 

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