Dans la vie, il faut choisir entre se déshabiller à 6h du matin alors qu’il fait 3°C dehors pour se glisser 4 minutes chrono dans une eau à 32°C avant de se sécher (et de se changer) rapidement et partiellement en plein air ou, rester emmitouflé dans son blouson et se satisfaire de prendre cette première catégorie de courageuses personnes en photo.
Errer dans les rues de New York un jour d’hiver rigoureux et remarquer cette singulière lumière mi-réelle mi-artificielle qui enveloppe la ville et ses habitants de toutes parts. Celle-là même qui, arrivant directement du ciel où brille un soleil libéré, vient heurter les millions de vitres des buildings pour rebondir sur le trottoir et éclairer la vie par en bas…
Je déambulais nonchalamment dans les rues de Lens – bien sûr que c’est possible, ne faites pas vos parisiens ! – quand, tout à coup, une vague d’indignation a déferlé sans prévenir ! « Oh non ! » a-t-il lâché ! De mon point de vue de photographe à l’affût d’étrangetés visuelles, cette maison sûrement anthropomorphisée involontairement a directement […]
… Bir Hakeim, on y danse, on y danse… Sur le pont Bir Hakeim, on y danse et puis voilà ! Ce soir-là, j’y mettais les pieds pour la première fois. Je me demande encore comment cette omission a pu être possible autant d’années, tout en ayant conscience, qu’au fil des jours, finissent par s’auto-élire […]
Share on Facebook– Vous la reconnaissez ? – J’ai un peu de mal, mais je crois que c’est la deuxième en partant de la gauche. Je me souviens de son nez tronqué… – Ah, que n’inventerait-on pas pour détourner l’attention ? 8 Share on Facebook
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