Il est certaines heures de la journée où chaque objet, assurément chaque être, laisse, sans qu’il n’y puisse vraiment rien, apparaître une autre facette de sa personnalité. Le dessous des choses en quelque sorte, souvent bien moins lisse que l’objet physique lui-même, à l’image de cette rampe d’escalier dont le rôle sécurisant serait largement atténué si elle avait véritablement cette allure tarabiscotée…
… Bir Hakeim, on y danse, on y danse… Sur le pont Bir Hakeim, on y danse et puis voilà ! Ce soir-là, j’y mettais les pieds pour la première fois. Je me demande encore comment cette omission a pu être possible autant d’années, tout en ayant conscience, qu’au fil des jours, finissent par s’auto-élire […]
Share on FacebookOu les risques du pilotage automatique… Ces moments légèrement angoissants a posteriori où l’on réalise que cela fait bien 10 minutes que l’on marche sans lever la tête et sans se tromper de chemin pour autant. Nos jambes ont pris le relais de nos yeux et nous guident dans la ville ou les couloirs du […]
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