Plutôt que d’immortaliser le contre-champ, c’est-à-dire l’objet de l’attente de ces dizaines de personnes, j’ai préféré saisir la singularité de l’attente elle-même, en particulier ces petits êtres colorés savamment dispersés sur ce granite rose taillé au couteau, jusqu’à en oublier l’objet lui-même… Le plus intéressant n’est pas systématiquement là où les regards convergent. 4 Share on Facebook
Share on Facebook6 Share on Facebook
Share on FacebookLa nuit, je déambule dans leurs rues, où qu’elles soient, et je ne peux m’empêcher de laisser traîner mon regard ça et là, de l’autre côté de ces parois éclairées où se débattent les vivants, absents et présents en même temps, un peu comme la lumière, à la fois onde et corpuscule. La nuit, ce sont les murs […]
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