Photo-graphies et un peu plus…

ça sent (pas) le sapin

Voyez-vous, tout au bout de la rue, la masse beige s’intercalant entre des palmiers et un poteau électrique ? C’est un bout de dune. De dune comme on en croise dans les déserts. Rien d’anormal en l’occurrence puisque cette ville, Arica, certes portuaire, est cernée, côté terre, par le plus aride d’entre eux, le désert d’Atacama. Et il faut croire que le Père Noël, bien planté là, n’en a pas vraiment peur. Ni de lui ni des coups de chaleur inévitables qu’il s’apprête à vivre en restant ainsi accoutré pour faire ses livraisons locales… Pourquoi une iconographie de Père Noël en short et débardeur n’a-t-elle pas émergé là où 25 décembre rime avec été ou chaleur torride ? Et comment continuer à y croire face à un tel manque d’adaptabilité et de souplesse d’esprit ?

Share on Facebook

I'll be back

Share on Facebook

Balisage filaire

Share on Facebook

Stigmates en plein ciel

Share on Facebook

Night birds

Share on Facebook

Climat sous haute tension

Share on Facebook

...lovers left alive

Share on Facebook

Piafs en choeur

Share on Facebook

Ce moment, magique, où, après s’être temporairement éclipsé derrière les nuages épais nimbant le monde d’une noirceur apocalyptique, le soleil rougi réapparaît, fier et victorieux, pour ressusciter tout ce et ceux que ses rayons touchent.

Share on Facebook

Share on Facebook