C’est souvent écrit en lettres capitales sur les murs carrelés encadrant les piscines. Parfois, il y a aussi « Ne pas sauter ! » Dans les deux cas, une frustration pour les enfants qui y vont pour s’amuser, ce qui inclut courir, sauter, crier, éclabousser, bousculer, plonger, chahuter et crier encore… Du coup, sur les bords des bassins, supposés glissants donc, ils deviennent des adeptes de la marche accélérée sous l’œil bienveillant du maître-nageur du moment. Nous sommes tous passés par là, en nous disant que ces sommations étaient bien superflues…
Parfois, toutefois, l’injonction « Ne pas courir ! » s’impose d’elle-même, qu’elle existe ou pas. Comme autour de cette célèbre piscine naturelle (construite par l’homme malgré tout) d’eau de mer malouine à ciel ouvert, sur les bords de laquelle une couche d’algues luisantes légèrement menaçante, est venue se déposer nonchalamment à la marée descendante… Le parallélépipède est bien rempli d’une eau salée, mécaniquement chauffée par le soleil printanier et d’un calme olympien. Seulement, impossible de l’approcher au risque de mettre le pied sur une véritable patinoire !
Je me lève avec une envie. Rien de bien extravagant. Ecouter Avec le temps. Comme nous sommes à une époque où il suffit d’avoir un désir pour qu’il soit presque aussitôt assouvi, j’allume ma machine à puces, lance le renard en feu et ouvre Grooveshark (un Deezer sans frontières). Je clique sur la loupe, entendez […]
Share on FacebookCourse de gouttes de goudron fossilisées sur poteau de carrelet girondin. Recours à la photo pour statuer sur le vainqueur. Arrêt sur image. Egalité parfaite. 2 Share on Facebook
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