Et c’est parti pour un mois de « footcheball » ! Le mondial aura beau se tenir aux antipodes, nous en mangerons matin, midi et soir, dans les journaux, à la télé, à la radio, dans le métro, dans les bars, en terrasse, sur les trottoirs, au musée, au restaurant, dans les cours de récréation, au bureau… Chaque ville qui se respecte annonce, depuis des semaines déjà, avoir installé un écran géant sur sa belle place pour permettre à ses concitoyens amateurs de ballon rond, et les autres – ce sont des électeurs après tout – de se retrouver pour suivre, un peu en famille, les matchs en direct.
Car, ces antipodes là ont un avantage indéniable pour les diffuseurs et les villes, il n’y a pas de décalage horaire entre la France et l’Afrique du Sud… Inutile de se lever au beau milieu de la nuit pour regarder Corée du Sud – Grèce ou Nouvelle Zélande – Slovaquie ! Inutile de se bâillonner pour étouffer cris de colère, de joie, d’exaspération, tous susceptibles de réveiller la maisonnée dans une poussée d’adrénaline totalement inutile à cette heure ! Evidemment, ce n’est pas le cas de tous les pays participants. Au Chili par exemple, il y a 6 heures de décalage horaire avec le pays organisateur et les matchs du pays seront retransmis tôt le matin, entre 7h30 et 9h30, juste avant d’enchaîner avec la journée de travail. Autant dire qu’à la fin du match, une autre partie de plaisir va commencer : les embouteillages ! Conscient de ce potentiel problème, le Chili a donc décidé de reprogrammer, non pas les matchs, mais ses feux tricolores ! Quel pouvoir quand même !
Je suis passée sous cet immeuble parisien sans prétention des jours, des mois, des années avant de le photographier enfin. Cette avancée pointue sur le trottoir, légèrement agressive, me fascine. L’idée de vivre dans le vide, d’une certaine manière, tout autant. Même si tout est relatif. Comme à mon habitude, le cadrage me prend un […]
Share on FacebookC’est un constat que chacun a pu faire : un parapluie ne pare pas toujours efficacement la pluie. J’entends, un parapluie classique, de diamètre normal, pas ces parachutes qui occupent la largeur d’un trottoir, dont les propriétaires, de véritables pachas ambulants, ne semblent avoir aucun scrupule à éborgner les badauds qui oseraient fouler le même […]
Share on FacebookUne bouture diraient certains, voire une transplantation… Céline Blin, qui avait activement participé à Objectif_3280 en décembre dernier et qui est professeur de français dans un collège toulousain par ailleurs, nous a contactées Coralie Vincent et moi, pour savoir si elle pouvait en lancer un avec deux de ses classes de 3e. Son projet ? […]
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