
A quelques années d’intervalle, à des kilomètres de distance, un crabe d’un orange vif mais trépassé sur un rocher couvert de lichen. Ceci est une mise en scène. Voire, une nature morte.

A quelques années d’intervalle, à des kilomètres de distance, un crabe d’un orange vif mais trépassé sur un rocher couvert de lichen. Ceci est une mise en scène. Voire, une nature morte.

Il y a quelque chose d’hypnotique dans cette photo. En concentrant son regard sur le centre, on aurait presque l’impression d’un cœur qui bat, d’un œil qui cille. Est-ce une forme concave ou convexe ? Est-ce une vue prise de haut ou d’en bas ? Le doute s’installe, mais la lumière demeure.

… des plages d’été est un spectacle permanent. Légèreté, insouciance… On irait bien se jeter dans cette mer qui, pourtant, se dérobe sous nos pieds !

Hier, de passage chez un disquaire-libraire de masse, à l’entrée même, sur ces étals présentant les nouveautés, la couverture d’un CD m’attire. Noir, rouge, une forme. Je le prends. Pour l’image. J’ai même oublié de quel groupe il s’agissait… L’ai-je lu ? Bref. Dans cette forme, je reconnais un pont. Je m’apprête à reposer le CD quand je réalise que ne lui correspond aucune pile. C’est le seul sur ce mur de sons encapsulés. Je décide donc que c’est un signe et que ce pont que je distingue sera le thème de la photo du lendemain. Donc, du jour. Tout le monde a, bien ancré dans sa mémoire, l’imposante silhouette du Golden Gate Bridge à San Francisco. Ses dessous bleus délavés et rouges sont un peu moins connus, mais gagneraient pourtant à l’être…

Même désertée pour cause de pluie, une fête foraine continue d’envoyer ses effluves de pomme d’amour et de barbapapa !

Un monsieur fait des bulles de savon géantes en ce moment (enfin, pas littéralement) sur la Piazza Beaubourg. Nombreuses sont celles qui éclatent à peine nées… Mais ce qui fait rester les badauds et leur fait sortir l’appareil photo, ce sont celles qui arrivent à s’échapper de son filet… Ces bulles géantes (littéralement), difformes, lourdes assurément, réussissent, tant bien que mal, à prendre leur envol. Parfois, elles ne décollent que de quelques centimètres et viennent s’échouer sur les jambes d’un observateur surpris. Parfois, portées par une bise amicale, elles se hissent dans les hauteurs, suivies dans leur fuite à durée limitée par le regard des quidams admiratifs. Et parfois, le soleil aidant, la ville s’y reflète étrangement…
« A la vitesse de la lumière »… Quatre de mes photos ont été publiées dans la rubrique « Paris vu par vous » du magazine des Aéroports de Paris, ADP Mag’. Celui-ci est disponible gratuitement à Roissy et Orly, après avoir passé l’enregistrement. Pour ceux qui ne prennent pas l’avion en février, voici les six pages que ces photos occupent fièrement !




Bonjour bonsoir !
Et voilà, ce n’est pas forcément ce que j’annonçais ni de fait, ce qui était prévu, mais voici un peu de lecture et quelques images afférantes…
A la prochaine…
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Share on FacebookLes rais ardents du soleil assèchent tout, les cours d’eau, les herbes folles, les yeux marrons. Une cascade d’eau sur ces attributs voyeurs résout tout. Enfin, en partie… Si le flot, comme la pomme, file rapidement rafraîchir l’humus, une fine pellicule d’eau fait de la résistance et reste fermement amarrée aux yeux. Rideau. En un […]
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