Là, spontanément, si l’on pouvait s’inviter chez des inconnus comme ça, c’est-à-dire de façon totalement naturelle, impromptue, subjective, sans craindre d’être pris pour un fou, un malotru, un hurluberlu, j’irai directement frapper à la porte du 1er étage gauche. C’est incroyable comme de simples rideaux à une fenêtre – ouverts, fermés, unis, colorés, épais, voilés, foncés, clairs – font figure, de l’extérieur, de porte d’entrée vers la vie qui se déroule derrière, à l’intérieur…
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Share on Facebook… qui est aussi un étonnant roman d’Aimee Bender… 4 Share on Facebook
Share on FacebookJe ne vais pas y aller par quatre chemins : cette trace m’interpelle. Son existence sur cette pelouse berlinoise printanière n’y est absolument pour rien. Je n’ai en effet aucun mal à concevoir que des promeneurs, par facilité ou par mimétisme, finissent par emprunter la même route que leurs prédécesseurs. Et a fortiori, que la […]
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