La vie de silhouette à terre est finalement assez triste : son destin est déjà tout tracé, voire piétiné, avant même que son emplacement définitif ne soit déterminé. Elle me paraît même un peu cruelle à vrai dire quand, comme ici, elle doit suggérer le mouvement alors même qu’elle est clouée au sol, immobile, condamnée […]

S’eloigner de tout, de la ville, du tumulte, du bruit, des gens, se déconnecter du flux, et se poser là, au milieu de rien – enfin, non, les arbres, ce n’est pas rien, les arbres, c’est la vie -, donc, se poser là et se laisser envelopper par une autre plénitude… 5 Share on Facebook

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