
… des plages d’été est un spectacle permanent. Légèreté, insouciance… On irait bien se jeter dans cette mer qui, pourtant, se dérobe sous nos pieds !

… des plages d’été est un spectacle permanent. Légèreté, insouciance… On irait bien se jeter dans cette mer qui, pourtant, se dérobe sous nos pieds !

Comme ça, d’emblée, sans avant, sans après, la scène doit sembler énigmatique… Dois-je préciser de quoi il s’agit ? Ecrire où cette photo a été prise ? Et quand ? Difficile d’extraire une image de son contexte et de lui trouver un sens, unique. Comme ça, pourtant, d’emblée, c’est évident. Un dimanche après-midi, ensoleillé qui plus est (donc passé depuis belle lurette), dans un parc pris d’assaut (ah, ah) par une bande de girafes télescopiques et une funambule tractée par de joyeux lutins. Evident ! Bien sûr, il y a le tintamarre des tambours, en dehors de l’image et, l’odeur des fumigènes, hors champ aussi… Et puis, peu à peu, il y a les souvenirs qui remontent à la surface, grâce à l’image évidemment…
Petite virée à San Francisco où, postée au 1er étage d’une boutique de baskets, j’ai été témoin d’un étrange spectacle.
Des femmes, des hommes passant les clous à l’envers, s’arrêtant au beau milieu de leur traversée pour reprendre dans le bon sens, comme pris d’un soudain accès de conscience, avant de se raviser…
La scène n’a étonné personne : j’imagine que, là-bas, c’est chose courante.
Qui a dit que la vie avait un sens unique ?
Il y a au moins un avantage à poser le pied, idéalement les deux, dans un pays dont on ne maîtrise absolument pas la langue et dont l’écriture ne porte elle-même aucun indice susceptible d’en faciliter la compréhension : tout devient possible. C’est-à-dire que l’on peut choisir d’arpenter ses villes, ses rues, ses commerces, ses […]
Share on FacebookLa balade qui m’a conduite ici, sur les quais de la nouvelle Meuse, a un goût d’inachevé, et, subséquemment, d’assez exceptionnel. Je suis en transit à Rotterdam pour une poignée d’heures avec un dense programme architectural et il pleut. Pas cette petite pluie fine indécise dont les gouttes semblent défier la gravité tant elles tombent lentement. Non, pas cette […]
Share on Facebook[issuu width=420 height=297 printButtonEnabled=false backgroundColor=%23222222 documentId=111010212747-86c5b6a5189d4d5988701b22cb58aba2 name=une_fenetre_sur_le_ciel__l_homme_invisible username=lou_camino tag=book unit=px id=d735e532-2d73-a131-4d29-e7338f3eea7f v=2] Rien sur la couverture. Rien sur la tranche. Ludovic Ligot existe cependant sur la 4e de couverture. Et est ainsi présenté : «Ludovic Ligot, qui a recueilli les propos, est journaliste scientifique. Il écrit pour la presse généraliste et scientifique. Il a publié […]
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