… des plages d’été est un spectacle permanent. Légèreté, insouciance… On irait bien se jeter dans cette mer qui, pourtant, se dérobe sous nos pieds !
… des plages d’été est un spectacle permanent. Légèreté, insouciance… On irait bien se jeter dans cette mer qui, pourtant, se dérobe sous nos pieds !
Comme ça, d’emblée, sans avant, sans après, la scène doit sembler énigmatique… Dois-je préciser de quoi il s’agit ? Ecrire où cette photo a été prise ? Et quand ? Difficile d’extraire une image de son contexte et de lui trouver un sens, unique. Comme ça, pourtant, d’emblée, c’est évident. Un dimanche après-midi, ensoleillé qui plus est (donc passé depuis belle lurette), dans un parc pris d’assaut (ah, ah) par une bande de girafes télescopiques et une funambule tractée par de joyeux lutins. Evident ! Bien sûr, il y a le tintamarre des tambours, en dehors de l’image et, l’odeur des fumigènes, hors champ aussi… Et puis, peu à peu, il y a les souvenirs qui remontent à la surface, grâce à l’image évidemment…
Petite virée à San Francisco où, postée au 1er étage d’une boutique de baskets, j’ai été témoin d’un étrange spectacle.
Des femmes, des hommes passant les clous à l’envers, s’arrêtant au beau milieu de leur traversée pour reprendre dans le bon sens, comme pris d’un soudain accès de conscience, avant de se raviser…
La scène n’a étonné personne : j’imagine que, là-bas, c’est chose courante.
Qui a dit que la vie avait un sens unique ?
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Share on FacebookRien de plus banal, en apparence, que des ballons de baudruche… Quel drôle de nom d’ailleurs, quand on y pense, non ? A voix haute, c’est même pire : « bal-lon de bau-dru-che »… A en douter de l’exactitude de l’expression ! La baudruche étant originellement une membrane fine du gros intestin de boeuf ou de mouton, on comprend […]
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