Photo-graphies et un peu plus…

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Tout a commencé par L’ombre de moi-même, le 22 février 2010, et s’est terminé par La lectrice un an plus tard jour pour jour. C’était le but, l’objectif. Ecrire chaque jour sur une image et réciproquement. Entre les deux, 365 duos  photo-texte que j’ai enfin réussi à tous lier les uns aux autres. Associations quand tu nous tiens… Ainsi suffit-il de partir du début ou de la fin pour bondir, de duo en duo, au gré d’un mot, d’une expression, d’un bout de phrase rougi d’avoir été désigné comme fil conducteur, et refaire un tour autour du soleil… Evidemment, tout ne s’est pas arrêté au 22 février 2011, mais c’est une autre histoire…

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Les voyages, à leur manière, nous amènent systématiquement à nous poser des questions sur ce qu’ils nous livrent. C’est notamment en cela qu’ils nous grandissent. Si tant est que l’on trouve les réponses, évidemment. Autant dire que le face-à-face avec ces chaussures rivées à des fils électriques situés à des milliers de kilomètres les uns des autres a alimenté des heures et des heures de conversation.

Mais à quoi servent-elles ? Conduisent-elles mieux le courant ? Hypothèse totalement farfelue. Une installation artistique en plein air ? Un jeu entre voisins ? Un marquage de territoire ? Un quartier de Madrid pour l’image de gauche ; un quartier de San Francisco pour celle de droite (où ce sont d’ailleurs de fausses chaussures, en bois peint visiblement). Rien de bien particulier a priori, le quartier san-franciscain en question étant par ailleurs connu pour les fresques politico-artistiques murales qui égayent ses rues et ruelles. A bien y repenser, ces dernières se trouvaient au cœur du quartier hispanique de la cité américaine, Mission District. Un indice culturel donc. Peut-être pas. Car j’en ai vu ailleurs, sans me souvenir exactement où. Comme souvent, de nombreuses hypothèses circulent sur la raison de cette tendance baptisée shoetossing ou shoefiti. D’après ces spécialistes, cela pourrait avoir un lien avec la drogue, ou être un symbole pour des quartiers défavorisés, ou simplement être un courant (ah ah) d’art (double ah ah), un peu comme les cadenas accrochés aux ponts, qui eux, avaient une raison que le cœur n’avait pas !

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