J’aime cette heure tardive et sans nuage de la journée où la vie devient bidimensionnelle et où même notre ombre semble si fatiguée qu’elle s’étale de tout son long sur un macadam transformé en immense divan collectif.
J’aime cette heure tardive et sans nuage de la journée où la vie devient bidimensionnelle et où même notre ombre semble si fatiguée qu’elle s’étale de tout son long sur un macadam transformé en immense divan collectif.
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Share on FacebookGénéralement, lorsque je décide de m’appuyer à une rambarde pour discuter nonchalamment avec des amis de la dernière carpe miroir pêchée, de la production de riz aux Philippines ou encore de la rencontre étonnamment bicolore des Rio Negro et Rio Solimões au Brésil, je veille à me poster face à la vue la plus ouverte […]
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